Avis de cet utilisateur

Médisance...

Avis sur Unicis

"Contre la médisance il n'est point de rempart" disait Molière.
Vous affirmez que mes dires ne sont pas vérifiables... c'est faux car rien ne vous empêche de saisir la Répression des Fraudes en leur indiquant que vous suspectez Unicis de se rendre coupable de publicité mensongère avec le message de "Pierre" du 4 Janvier 2019.
Nous sommes dans un pays où la réglementation n'est pas un vain mot : les inspecteurs de la DGCCRF pourront demander à Madame FLOQUET d'apporter la preuve que ce témoignage est bien réel.
Mais rassurez-vous, il l'est.
Pour des raisons qui tiennent plus à l'éthique qu'à la peur du gendarme nous ne jouons pas avec la vérité.
Votre suspicion révèle au moins une chose : vous ne devez pas vous embarrasser vous-même de beaucoup de scrupules à travestir ou contrefaire la vérité en imaginant que tout le monde procède de cette manière...
Serge Ducruez aurait vraisemblablement trouvé cela "pitoyable".
Quant à moi je persiste à dire que vous attentez tout simplement à l'honneur d'une enseigne qui ne vous strictement rien fait, que vous n'avez jamais fréquentée ni de près ni de loin. Vous êtes juste un affabulateur.
Quant à vous communiquer des chiffres (dont vous contesterez immédiatement la véracité, je suppose), je vais vous donner des informations statistiques basées sur à peu près 45 ans de pratique du courtage matrimonial : au terme de 12 mois d'adhésion nous constatons que 50% des adhérents qui se sont inscrits il y a un an, ont fait une rencontre décisive et sont en couple. C'est un taux de "succès" disons, "honorable" pour une agence mais qui induit qu'il reste encore environ un adhérent sur deux toujours en recherche au bout d'un an.
Chez Unicis nous avons donné la possibilité à nos adhérents de demander la poursuite gratuite du service (avec un nouveau contrat de 12 mois sans paiement) : au cours d'une deuxième année d'adhésion, nous constatons encore que 50% de ceux qui poursuivent leur adhésion font une rencontre décisive. Nous arrivons par conséquent à 75% d'adhérents en couple au bout de 24 mois. Les 25% qui n'ont pas encore rencontré peuvent toujours demander la poursuite gratuite du service d'adhésion... Ils auront eux aussi à peu près une chance sur deux de trouver leur âme-sœur pendant cette troisième année.
Voilà... Rien de miraculeux ou de transcendant mais simplement un enseignement sur la patience et la persévérance dont il faut faire preuve quand on s'engage sur le chemin de la rencontre sérieuse.

Stéphane MAILARD

Avantages
la sincérité, la transparence, l'écoute attentive

Inconvénients
essayer de convaincre les médisants...

réponses:

Avis: arnaque

Bonjour Cédric,
Il ne nous semble pas que vous ayez contacté le Service Consommateurs d'Unicis pour exposer votre problème. Vous pouvez nous joindre par mail à [email protected].
En attendant une précision quand même : votre contrat ne peut pas prévoir 40 rencontres en un an (il est impossible de fixer un nombre de rencontres à réaliser en un temps donné puisque cela dépend et des possibilités du fichier et du temps que vous-même consacrez à vos rencontres).
Votre contrat prévoit que, si au terme de votre contrat d'un an vous n'avez pas fait de rencontre décisive (ce qui peut encore se produire au cours des 3 prochains mois), vous pouvez demander une poursuite gratuite du service pour une période de 12 mois supplémentaires et ceci tant que vous n'avez pas réalisé 40 rencontres.
L'objectif de votre contrat n'est pas que vous fassiez 40 rencontres mais que vous fassiez "la" bonne rencontre et, si possible, le plus rapidement possible.
Les 40 rencontres sont une "limite maximum" du service, pas un but en soi.
N'hésitez pas à nous contacter, nous vous répondrons avec plaisir.
Jessica
Service Consommateur Unicis

Avis: m�contentement

Bonjour Dominique,
J'aimerais pouvoir vous apporter une réponse.
Pour cela pouvez-vous me contacter via le service consommateurs Unicis ([email protected]) en faisant référence à votre message ci-dessus et en me donnant quelques informations complémentaires.
Merci,
Stéphane MAILLARD